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Actualit

Page history last edited by johper64@... 1 year, 9 months ago

 

Mise à jour, le 29 juin 2022

 

Cette rubrique ACTUALITES est destinée à annoncer les nouvelles publications d'Henri Thomas et les essais sur Henri Thomas, en les commentant brièvement. Les ouvrages antérieurs à 2003 sont nommés dans la rubrique Bibliographie.

Les rubriques Livres et Essais sur Thomas proposent des lectures plus approfondies de ces nouveaux ouvrages.

 

Tables rondes, conférences, soutenances de thèse sur Thomas sont aussi signalées ici.

Nous signalons ici aussi les émissions de radio consacrées à cet écrivain, éventuellement avec des liens permettant de les écouter.

Les auteurs de notes de lecture sont bienvenus, ils développent librement une opinion qui n'engage qu'eux-mêmes.

 

 

 

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Mise à jour, le 29 juin 2022

 

Les éditions Fata Morgana continuent leur travail d'édition des textes d'Henri Thomas qu'il convient de saluer.
Après Reportages, puis Amorces (dont j'ai rendu compte dans Europe, mars 2022), voici Dextre senestre.

 
Cet été, j'écrirai une note de lecture sur cette expérience du monde de Thomas dont ce type de texte hybride porte trace.


Les << Chroniques >> de la NRF, signées H.T sont donc aujourd'hui toutes rassemblées.

 

http://www.fatamorgana.fr/livres/dextre-senestre

 

Mise à jour, le 28 avril 2022

 

Les éditions autrichiennes Ralph Klever de Vienne, qui ont édité deux traductions signées Léopold Federmair, de La Nuit de Londres et, plus récemment, du Seau à charbon, Der Kohlenkübel nous signalent l'émission télévisuelle, Der Grossartige Zeman Altenberger 5 consacrée à cette dernière traduction.  

Merci à Ralph Klever et à Barbara Zeman et Verena Attenberger pour donner à lire et à entendre en langue allemande Henri Thomas.

 

YouTube: "https://www.youtube.com/embed/VoLm0ldEKNY"

 

Mise à jour, le 4 avril 2022

 

Thomas Laux, qui a traduit en allemand Les Tours de Notre-Dame, Die Türme von Notre-Dame,  Erzählungen, aux éditions S. Boettcher., Dûsseldorf, 1988,  nous signale la publication de son nouveau livre Nescafé mit Honig. Literarische Berührungspunkte,  Edition Dia, Berlin, février 2022 qui témoigne de rencontres avec des écrivains, et notamment de Henri Thomas en 1988.  Une lettre de Thomas figure sur la belle couverture  de ce livre.

 

Mise à jour, le 2 avril 2022

 

Je me permets de signaler ma note de lecture consacrée à Amorces, Fata Morgana, 2021, dans la revue Europe, mars 2022, N°1115, p.335-337.

Cette excellent revue, dirigée par Jean-Baptiste Para, présente dans ce numéro, deux dossiers, l'un sur Georges Séféris, l'autre sur Gilles Ortlieb.

 

Orlieb lecteur de longue date Henri Thomas, a préfacé Amorces.

 

 

Mise à jour, novembre 2021

 

Pierre Lecoeur me signale, sur l'excellent site littéraire Diakritik, dirigé par Johan Faeber, deux articles consacrés à deux livres postumes, récemment publiés par Fata Morgana :

 

Jean-Pierre Ferrini a écrit, le 26 ocotbre 2021, un article intéressant sur Amorces, 2021.

https://diacritik.com/2021/10/26/ai-je-une-patrie-henri-thomas-amorces/

 

Christine Marcandier a publié, le 12 juin 2018, Le Pépiement des ombres, 2018.

https://diacritik.com/2018/06/12/se-correspondre-parfaitement-henri-thomas-philippe-jaccottet-le-pepiement-des-ombres/ 

 

Mise à jour, le 19 mai 2021

 

Saluons le travail de longue date des éditions Fata Morgana qui vient, à nouveau, de publier un volume de notes de carnets, d'abord parues dans la NRF. Je commenterai prochainement ce précieux volume. 

 

Henri Thomas

Amorces

Illustrations de Michel Danton.

2020 ‒ 288 pages ‒ 14 x 22 cm

Ces Amorces sont des compositions, à partir de notes qui ne sont pas considérées chronologiquement. C’est une tentative de portrait d’un inconnu à partir de quelqu’un qui m’est familier, qui me tourmente, qui m’ennuie et ne me lâche pas, et reste mon seul point de départ et de retour.
Si l’inconnu était mon moi idéal, il ne me serait pas inconnu. Il est plutôt comme une figure de l’autre côté de la tapisserie, où je ne serai jamais.

L’homme va vers un tiroir où il prend un revolver et, devant le médecin pétrifié, se «brûle la cervelle», comme on disait au temps des amorces…

Dans la suite immédiate des Reportage, paraissent dans la NRF, entre 1982 et 1987, ces cinquante-trois Amorces, pour la première fois réunies en volume. De ces chroniques (qui n’en sont pas) voici ce que dit Lionel Bourg :

“La vie est là, pourtant. Neuve. Palpitante. Des corps sont beaux à pleurer. Le désir se soustrait à son assouvissement. Une lèvre frémit. Une larme coule et, si la mort rôde, son secret de Polichinelle n’intrigue ni les vieillards ni les enfants. Mieux vaut se jeter à l’eau. Nager. Marcher par les rues la nuit. Se raconter des histoires. Sauter à cloche-pied jusqu’au ciel ou à l’enfer de sa marelle. C’est que rien ne s’apaise, rien de soi ne subsiste qu’à l’intérieur de ses propres ruines, que la lecture d’un tel ouvrage, enfin, se change petit à petit en enchantement : on marque le pas, rêveur, pensif, s’arrête ou s’accorde une pause à la clôture de chaque paragraphe, chaque note, chaque poème, chaque citation même, toujours prompte à prendre à revers le lecteur, tout ce que l’exigeant compagnon de Léon-Paul Fargue évoque propageant sa longueur d’onde au gré des eaux d’une littérature libre d’aller à sa guise.”

Henri Thomas est né en 1912. Proche de Gide et du groupe de la NRF, il noue très tôt de solides amitiés littéraires. Il publie en 1940 son premier roman, Le seau à charbon, puis l’année suivante son premier recueil poétique, Travaux d’aveugle. Après quelques années à Londres, John Perkins, prix Médicis en 1960, puis, Le promontoire, prix Femina en 1961, lui assureront une certaine notoriété. L’année 1965 marque le début d’une période sombre. Devenu veuf il ne publie que de minces plaquettes avant de renouer, en 1985, avec une intense activité créatrice.

  • 919 exemplaires sur vélin ivoire des papeteries de l’oued Ziz.
    27 euros.

 

 

 

 

 

Mise à jour, le 13 décembre 2020

 

Signalons que les éditions du Seuil ont fait paraître en décembre 2020, le séminaire de Jacques Derrida, Le pardon, le parjure, Tome II, ( 1998-1999),  un long commentaire sur Le Parjure d'Henri Thomas, première version de l'étude << Le Parjure, peut être >> parue dans Etudes françaises, P.U de Montréal,  2002 signalée en son temps sur cette page Actualitiés.. 

 

Mise à jour, le 12 janvier 2020

 

Merci à Fata Morgana, de publier REPORTAGE un ensemble de pages de carnets parues, sous le titre Reportages entre avril 1978 et mars 1982, dans la NRF. Cet ensemble est préfacé par Jacques Réda.  

 

http://www.fatamorgana.fr/livres/reportage

 

Mise à jour, le 2 janvier 2020

 

Parution de la note de lecture de Patrice Bougon dans la revue Europe, janvier - février 2020, p.347-349, consacrée à l'essai  de Jacques Laurans

Henri Thomas. Présence de la poésie aux éditons des Vanneaux, 

 

MIse à jour, 19 décembre 2019

 

Signalons le titre du master de Justine Mathieu (étudiante à l'universite Paris I ) 

 

<< Poétique du mouvement chez Henri Thomas, phénomènes de révélation par l'écriture du détail dans La nuit de Londres et Le Promontoire.>>

 

 

Mise à jour, le 29 septembre 2019

 

Signalons que Pierre Lecoeur, l'auteur d'Henri Thomas, Poétique de la présence, éditions Garnier, 2014,  vient de publier un récit aux éditions Fata Morgana, septembre 2019.

 

Pierre Lecœur  :  Le blason de lichen.

 

Mise à jour, le 12 septembre 2019

 

Patrice Bougon donne une conférence sur La Nuit de Londres ( 1956), lors du congrès international de la société de littérature française du XX et XXI siècle à l'université de Caen. Le thème du congrès de cette année est L'écrivain et la ville.

 

Mise à jour , juillet 2019

 

La note de lecture que Patrice Bougon a consacrée à l'essai de Jacques Laurans, devrait paraître dans Europe, décembre 2019. 

 

Mise au jour, mars 2019

 

 

Je découvre ( ce site n'est assez connu ...) qu'un essai sur Henri Thomas est paru en mai 2018.

 

Henri Thomas, collection présence de la poésie, par Jacques Laurans, éditions des Vanneaux, Bordeaux.

 

Lu une première fois, grâce au prêt de Béatrice Marchal que je remercie de cette révélation, il m'apparaît très intéressant et signé par un écrivain attentif au style et la vision poétique d'Henri Thomas .  

 

Mise à jour, le  25 février 2019

 

Dans un essai récent qui relève des études culturelles, Les chiffonniers de Paris, Antoine Compagnon, professeur au Collège de France, a la bonne idée de citer Le croc des chiffonniers,Gallimard, 1985, roman d'Henri Thomas. 

 

Saluons ce geste rare d'autant plus que cet éminent professeur rend hommage à la singularité du talent de Henri  Thomas. ( citation à venir ).

 

Quant au roman,il est ainsi présenté par Gallimard :

 

 

Le croc des chiffonniers

 

Collection Blanche, Gallimard

Parution : 02-05-1985

L'art d'Henri Thomas trouve son aboutissement dans ce roman, impossible à contracter en quelques lignes car tout s'y tient. L'essentiel est dans tous les épisodes. Disons qu'il y a trois hommes, Serrurier, Bauge et Vince, qui sont comme les avatars très distincts d'un même être. Et trois femmes, Dorine, Martine et Julie. La construction du roman est semblable à un tourbillon qui prend naissance à Paris et finit par y revenir.
Le personnage de Vince, malgré le titre, n'est pas chiffonnier. Mais pour lui, la vie est une terrible «chine» où l'on attrape des souvenirs au lieu de la réalité qui a existé autrefois, certainement, mais s'est écrasée dans le cœur. C'est un vieil enfant dérouté par un peu de succès (un livre, la Légion d'honneur) et qui veut s'en dépêtrer. Pourquoi? C'est son secret et il n'en sort pas. Seule Julie la paumée semble comprendre quelque chose à ce drôle d'homme.
Un univers étrange dans sa simplicité, un discours dont la voix se casse, comme brisée par les larmes, de l'humour aussi : chaque page nous fait reconnaître Henri Thomas, mais nous entraîne vers l'imprévu.

 

Mise à jour, le 11 avril 2018

 

Fata Morgana, qui a déjà publié plusieurs livres de Thomas,  vient de faire paraître deux  volumes.

 

Philippe Jaccottet et Henri Thomas : Pépiement des ombres

 

Henri ThomasSilence et soleil dans la chambre

 

Dès lecture, nous en dirons plus, ici, et dans une revue papier, mais saluons d'emblée ce double évènement.  L'édition et la présentation du premier volume  sont signées Philippe Blanc, le second de Luc Autret.

 

Mise à jour, 6 juillet 2017

 

Troisième soutenance sur Henri Thomas du trimestre ! Du jamais vu. Le travail de la société Henri Thomas commence à voir des effets.

 

Dana Ungureanu soutiendra sa thèse 

 

Samedi, 8 juillet, à 14h

 
Université Paris Nanterre
Bâtiment B - Salle René Rémond (B015)

 

Les membres du jury sont:

 

François Berquin, Maître de conférences HDR,  Université du Littoral-Côte-d’Opale (rapporteur);

Eric Marty, Professeur des universités, Université Paris 7 - Diderot (rapporteur);
Myriam Boucharenc, Professeur des universités, Université Paris Nanterre, (directeur de thèse);
Claude Coste, Professeur des universités, Université de Cergy-Pontoise.

 

Mise à jour, 29 juin 2017

 

Alexis Weinberg soutiendra sa thèse de doctorat le 7 juillet 2017 à 14h à l'Université Paris Diderot.

 

La thèse est intitulée : "Temps de l’écriture et poétique du point aveugle : théorie et pratique (Bernard Pingaud, Henri Thomas)" et dirigée par M. Dominique Rabaté.

 

Le jury sera composé de M. Laurent Jenny (Université de Genève), M. Eric Marty (Université Paris Diderot), Mme Nathalie Piégay (Université de Genève), M. Dominique Rabaté (Université Paris Diderot).

 

La soutenance se tiendra en salle Pierre Albouy (Bâtiment Les Grands Moulins, aile C, 6ème étage), 10 esplanade Pierre Vidal-Naquet, 75013 Paris.

 

 

 

Mise à jour, le 1 juin 2017

 

Signalons la conférence de Patrice Bougon, le vendredi 9 juin 2017,  à 14h30, à la Sorbonne : Derrida, lecteur du Parjure de Henri Thomas ( en mémoire de Paul de Man).

Résumé et lieu dans ce lien.

 

https://www.fabula.org/actualites/seminaire-philosophie-arts-ete-litterature-patrice-bougon-jacques-derrida-lecteur-de-henri-thomas_79366.php

 

Mise à jour, 19 avril 2017

 

Marion Spaier nous annonce la soutenance de sa thèse de doctorat, le jeudi 27 avril à 14 heures.

 

La thèse est intitulée "Henri Thomas, une poétique en quête d'impossibles : désertions, dépossessions, révélations de 1950 à 1972", et dirigée par M. Eric Marty.

Le jury sera composé de M. Eric Marty (Université Paris 7), M. Dominique Rabaté (Université Paris 7), Mme Myriam Boucharenc (Université Paris 10), et M. Claude Coste (Université de Cergy-Pontoise).

 La soutenance aura lieu à l'Université Paris 7 Denis Diderot, en salle Pierre Albouy (Grands Moulins, bâtiment C, 6e étage, à droite quand vous sortez de l'ascenseur).

10 esplanade Pierre Vidal-Naquet, 75013 Paris (RER C, M14, "Bibliothèque François Mitterrand")

 

La soutenance sera suivie d'un pot auquel je suis heureuse de vous inviter, qui aura lieu à la librairie Gallimard, au 15 bd Raspail, métro Rue du Bac, à partir de 19h30.

 

Mise à jour, le 18 avril 2017.

 

Patrice Bougon fera une conférence le vendredi 12 mai 2017 à 14h30 sur l'essai de Derrida Le parjure peut-être,<< Brusques sautes de syntaxe>>, Galilée, 2017, et sur Le Parjure de Thomas en relation avec l'oeuvre de Paul de Man dans le séminaire Ecritures de la pensée de Bruno Clément et François Noudelmann, salle à déterminer. prochainement.

 

Mise à jour, le  2 mars 2017

 

Les éditions Fario viennent de publier :

 

Correspondance Georges Perros - Henri Thomas

 

<< Cette édition établie et annotée par Thierry Bouchard est accompagnée d’une magnifique préface de Jean Roudaut : L’amythié entre Georges Perros et Henri Thomas. Elle est suivie de deux postfaces de Jean Roudaut, chacune consacrée à l’un des auteurs. Elle comprend en outre deux poèmes inédits de G. Perros, retrouvés dans cette correspondance, et deux textes : l’un de Georges Perros sur Henri Thomas, l’autre de Thomas sur Georges Perros. >>

 

Parution le 21 février 2017
144 pages, format 12x18,5 cm
  15 euros

 

Mise à jour, le 27 février 2017

 

L'excellente maison d'édition Galilée qui, depuis 1973, publie l'essentiel de l'oeuvre de Jacques Derrida fait paraître une étude consacrée au roman d'Henri Thomas, Le Parjure, Gallimard,1964.

 

Je signale que le personnage central du roman - Stéphane Chalier - est une figure romanesque de Paul  de Man, connu entre 1958 et 1960 lorsque Henri Thomas enseignait à l'université de Brandeis

 

Le Parjure peut-être. Brusques sautes de syntaxe.

 

Paru d'abord sous forme d'article dans Etudes Françaises, une revue de l'université de Montréal en 2002, ce texte était resté confidentiel. Sa republication chez Galilée ne peut qu'aider à mieux faire connaître l'oeuvre de Henri Thomas, et elle ne peut qu'intéresser les thomasiens tant la perspective de Derrida est singulière. 

 

http://www.editions-galilee.fr/f/index.php?sp=liv&livre_id=3472

 

Nous allons rédiger un compte rendu sur ce volume. ( Patrice Bougon) 

 

Mise à jour, 25 février 2017

 

Deux articles de Patrice Bougon viennent de paraître :

 

<< Henri Thomas et l'épiphanie du visible (De la traduction de Stifter à la description d'une Corse sublime>>, De l'émerveillement dans les littératures poétiques et narratives des XIX et XX siècles, dirigé par Julie Anselmini et Marie-Hélène Boblet, éditions Ellug, université de Grenoble, 2017, p. 91-100.

 

 <<Contempler les rivages de la Corse ou le promontoire du désir chez Henri Thomas>>, L'éros insulaire, sous la direction de Alexandra W.Albertini et Jacques Isolery, éditions Petra, 2016, p. 89-108.

 

Mise à jour, le 28 octobre 2016

 

Thomas Laux nous signale son article daté du 6 octobre  2016 consacré à la traduction, par Léopold Federmair,  de la Nuit de Londres que nous évoquions le 7 mars 2016. Cette traduction, comme celle du Parjure, est publiée, à nouveau, par Klever Verlag, éditeur qu'il convient de saluer, quant à sa volonté de faire connaître Henri Thomas aux lecteurs de langue allemande.

 

Die Nacht von London

 

http://www.nzz.ch/feuilleton/buecher/henri-thomas-die-nacht-von-london-mysterien-der-nacht-ld.120568

 

Mise à jour, le 7 mars 2016

 

Léopold Federmair nous indique sa traduction en langue allemande de La Nuit de Londres. On se souvient que ce traducteur a déjà traduit, chez le même éditeur, qu'il faut saluer, Le Parjure sous le titre Der Meineid, 2012.  

 

La traduction de La Nuit de Londres est accompagnée d'un essai biographique de Léo Federmair. 

 

https://klever-verlag.com/wp-content/uploads/2016/01/Katalog_FJ16_web.pdf

 

Mise à jour, le 16 mai 2015

 

Dans notre rubrique Réception  allemande,  on peut lire le résumé de  l'étude mentionnée ci-dessous dont nous redonnons les références., nous remercions l'auteur Sigrid Kupsch-Lozereit,de ce don et espérons un dialogue plus intense entre nos deux pays quant à Thomas et la traduction ( Goethe, Stifter, Brentano, et d'autres) . 

 

 

Der Übersetzer als verhinderter Schriftsteller. Henri Thomas‘ La Nuit de Londres und Das Vorgebirge“.  In: Mayer, Felix/ Nord, Britta (HG.): Aus Tradition in die Zukunft. Perspektiven der Translationswissenschaft. Festschrift für Christiane Nord. Berlin: Frank & Timme, 131-141.

 

Mise à jour, le  19 avril 2015

 

Luc Autret, bien connu quant à la biographie de Thomas et à l'édition de ses textes, récemment responsable d'un très bon dossier Henri Thomas de la revue suisse RBL, 2013,1 nous signale la dernière version de la bibliographie et de la biographie de notre auteur. Autret nous avait déjà donné une bonne bibliographie qui se trouve sur notre site Thomas, mais ses travaux récents la complètent utilement

 

On peut désormais lire sur son site,  incontournable pour qui s'intéresse à l'histoire des revues,   :

 

http://www.revues-litteraires.com/articles.php?lng=fr&pg=2834

 

Mise à jour, le 17 avril 2015

 

Dans le cadre de sa réunion annuelle, la Société André Dhôtel invite Patrice Bougon  à parler de la relation entre Dhôtel et Thomas à l'occasion de la publication de la correspondance André Dhôtel & Henri Thomas annoncée ci-dessous.

 

Samedi 25 avril 2015, bibliothèque Carnégie, Reims

 

 Pour plus de précisions, consulter le site de l' association des amis d'André Dhôtel :

 

http://www.andredhotel.org/association

 

 

Mise à jour, le 29 mars 2015

 

Deux articles consacrés à l'essai Henri Thomas, Poétique de la présence de Pierre Lecoeur, éditions Garnier, plusieurs fois évoqué en ces pages, sont à signaler. Le premier signé de l'écrivain Jean-Benoît Puech publié dans La Revue des Deux Mondes,  février 2015, p. 141-146, le second paru, sur l'incontournable site universitaire Fabula, est signé Olivier Gasnot : « D’une mélancolie créatrice : Henri Thomas, écrivain de la présence », Acta fabula, vol. 16, n° 2, Notes de lecture, Février 2015,
URL : http://www.fabula.org/revue/document9154.php

 

Mise à jour, le 16 mars 2015

 

Grande nouvelle, grâce la Société André Dhôtel, nous pouvons lire l'ouvrage conçu par Philippe Blondeau : 

 

Cahier André Dhôtel, n°12, 2014, 283 pages, 20 euros, disponible à l'adresse suivante :

 

La route inconnue, Association André Dhôtel,

Roland Frankart, 23, rue Marlot, 51 000 Reims

http://wwww.andredhotel.org


André Dhôtel , Henri Thomas Correspondance

 

(125 lettres de Dhôtel, et 165 lettres de Thomas)

 

Introduction de Philippe Blondeau et Patrice Bougon

Chronologie de Roland Frankart

Notes et index de Philippe Blondeau et Roland Frankart

 

Avec l'aimable participation pour ce numéro de Patrice Bougon, Président de la société Henri Thomas>>

 

 

 

Mise à jour, 10 janvier 2015

 

Lors du colloque international De l'émerveillement, organisé par Julie Anselmi et  Marie-Hélène Boblet, Université de Caen 15-17 janvier 2015, nous signalons que le 16 février, à 9h15, Patrice Bougon donnera une conférence intitulée : Henri Thomas et l'épiphanie du visible : Thomas, lecteur de Stifter et la question du sublime.

 

Mise à jour, le 15 novembre 2014

 

Pierre Lecoeur présentera,en compagnie de Jean-Benoît Puech, son essai récent sur Thomas (voir ci-desous) à la Librairie Les Temps Modernes, à Orléans, le jeudi 27 novembre 2014 à 18h30.  


http://librairielestempsmodernes.blogspot.fr/2014/11/jeudi-27-novembre-18h30-avez-vous-lu.html

 

Mise à jour, le 18 juillet 2014

 

 L'essai de Pierre Lecoeur, Henri Thomas, Une poétique de la présence, version remaniée de sa thèse ( la première consacrée à Henri Thomas, dirigée par Eric Marty, à l'université Denis Diderot-Paris 7 ) dont nous avions évoqué ici la soutenance, est paru aux éditions Garnier dans la collection dirigée par Didier Alexandre et Dominique Rabaté.

 

Classiques Garnier,

6, rue de la Sorbonne, 75006 Paris  

 

402 pages, 46 euros

 

https://bay180.mail.live.com/mail/ViewOfficePreview.aspx?messageid=mgqql3ob8K5BGV5tidZ1x5gg2&folderid=flinbox&attindex=0&cp=-1&attdepth=0&n=42115664

 

On ne peut que conseiller cet ouvrage signé par un critique dont on connaît la qualité des articles parus dans le récent dossier Henri Thomas d' Europe, ( nov-déc 2013) et dans les Actes de plusieurs colloques dont L'écriture du secret, Champ Vallon. 2007 ( voir  rubrique  Essais sur l'oeuvre ).

 

Nous allons en rendre compte ici et dans une revue papier prochainement.

 

Mise à jour, le 10 mai 2014.

 

La revue Le Migrateur , N°3, mai - juin 1994  a consacré un dossier Thomas & Supervielle, dirigé par Daniel Aranjo  aujourd'hui introuvable va reparaître dans une revue... roumaine ( références à venir prochainement ) . Daniel  Aranjo a la bonté de nous donner à lire ce dossier que nous mettrons en ligne prochainement.

 

Mise à jour, le 12 février 2014

 

L'entretien, signalé hie,r donne une idée de l'ampleur de l'oeuvre de Thomas et de sa diversité.

 

Merci à Alain Veinstein d'avoir signalé le dossier Thomas de la revue Europe, novembre 2013.

 

Mise à jour, le 11 février 2014

 

L'excellente émission Du jour au lendemain d'Alain Veinstein sera consacrée, ce soir, au Dossier Henri Thomas de la RBL, dirigé par Ghislaine Dunant & Luc Autret.

 

L'émission restera accessible sur le site de France Culture plusieurs mois.   

 

On doit à Luc Autret l'édition des  Carnets de Thomas parus aux éditions Claire Paulhan,2008,  il fut alors invité à cette même émission.

 

Alain Veinstein a publié d'intéressants entretiens avec Thomas, sous le titre Les Heures Lentes, éditions Arléa, 2004, que nous avions signalés à l'époque. Ces entretiens sont précédés d'une préface "La fenêtre  et la lucarne" à lire ! 

 

 

 

Mise à jour, le 27 janvier 2014

 

Demain, 28 janvier 2014, à 19 heures, présentation du dossier Henri Thomas, dirigé par Ghislaine Dunant & Luc Autret, de la revue suisse RBL à la librairie Gallimard : 15, boulevard Raspail, 75007

 

http://www.librairie-gallimard.com/events.php?blid=3534#340236

 

Très bonne idée.

 

Espérons que le dossier Thomas d'Europe, novembre 2013 et la Société Henri Thomas seront signalés.

 

 

http://www.librairie-gallimard.com/events.php?blid=3534#340236

 

Mise à jour, le 2 janvier 2014

 

Signalons la nouvelle parution, dans la collection" L'imaginaire", de la traduction du récit Les Grands bois d'Adalbert Stifter avec une préface ( 1979) du traducteur Henri Thomas qui avait déjà traduit en 1943 un volume de récits de cet auteur autrichien qui fut republié dans la collection "Du Monde entier", en 1979. Les Grands bois est issu de ce volume.

 

 

Mise à jour, le 1 décembre 2013

 

Pour saluer les vingt ans de la mort de Thomas ( novembre 1993), une journée d'études est organisée par nos soins :

 

 

 

Henri Thomas et la littérature étrangère (articles critiques et traductions)

 

                                       Samedi 7 décembre 2013

 

Journée d’études à Université Paris-Diderot, Bâtiment Grands Moulins, UFR LAC, Hall C, Salle Pierre Albouy, 6ème étage.

Organisation : Patrice Bougon, avec l’aide généreuse du groupe de Recherches sur la Pluralité esthétique de l’Université Paris VIII  et l'hospitalité de l'équipe CERILAC de l'Université Paris-Diderot.

 

Pour saluer les vingt ans de la mort de Thomas (3 novembre 1993), deux revues (RBL et Europe) ont consacré un dossier spécial à Henri Thomas (1912-1993), notre journée d’étude participe à la célébration de cet anniversaire. Notre rencontre vise à faire un premier état des lieux des relations importantes, en nombre (20 volumes) et en qualité, de Thomas à la littérature étrangère. Cet écrivain a en effet, dès l’origine de son œuvre, commenté et traduit des oeuvres écrites en russe, anglais, allemand. Cette journée est composée de deux parties. Le matin, nous analyserons des articles dans lesquels Thomas étudie les auteurs étrangers qu’il a traduits. L’après midi rendra compte de la manière dont Thomas traduit l’anglais, le russe et l’allemand. Chaque exposé sera suivi de 15 minutes de libre discussion avec le public.

 

Matinée : 9 -12 heures

 

9h-9h30 : Patrice Bougon (Ceracc, Paris III) : Introduction de la journée et des enjeux du colloque, suivi de la présentation de l’actualité éditoriale d’Henri Thomas, notamment  du dossier Thomas  de la revue Europe  ( novembre 2013 )avec certains de des participants présents  

 

9h30-10 h 15 : Marion Spaier (Paris-Diderot) : « Vous avez reconnu l’homme des foules » : Charles Lamb par Henri Thomas

 

10h15-10h30 : Pause café 

 

10h30 -10h45 : Pierre Lecoeur (Orléans) : Henri Thomas et Kleist

 

10h45 -11h30 : Patrice Bougon : Une longue traversée (« Melville d’après son Journal de bord », Critique, octobre 1952)

                                                    Déjeuner : 12h -14 heures

 Après-midi : 14 heures – 17h30

 

14h-14h45: Barbara Wiedemann (Université Tübingen) : Une « broderie » ? Henri Thomas, traducteur de Pouchkine

 

14h45-15 h30 : Philippe Ivernel (Paris 8) : Henri Thomas, traducteur de Jünger

 

15h30-15h45 : Pause café

15h45-16h30:<em> </em><strong>Michel Imbert&nbsp; (Paris-Diderot):</strong> Comment tourner le baratin de l'arnaqueur, d'Herman Melville à Henri Thomas (<em>The Confidence Man, Le Grand Escroc</em>)? 
&nbsp;
16h30-17h15&nbsp;: <strong>Salim Jay</strong> <strong>(Ecrivain)</strong> : Henri Thomas dans l’admiration d’Armen Lubin&nbsp;: l’écrivain entre deux langues.
&nbsp;

Adresse de l’université : 16, rue Marguerite Duras, 73013. Métro : ligne 14, Bibliothèque François Mitterrand, sortie  rue Goscinny.  Bus : 89, 62,64, 325. Pour tout renseignement sur Thomas (bibliographie, biographie, colloques) consulter le site de la Société Henri Thomas : http://www.henrithomas.pbworks.com ou téléphoner à Patrice Bougon : 06 82 38 68 69 

 

 

 

 

Mise à jour, le 5 novembre 2013

 

En Allemagne, Christoph Vormweg a consacré, le 3 novembre 2013 sa célèbre émission à Henri Thomas, avec Patrice Bougon et Thomas Laux, l'un des traducteurs  et ami de Thomas. 

 

Pour écouter l´émission :


 http://medien.wdr.de/m/1382968994/radio/zeitzeichen/WDR5_Zeitzeichen_20131103_0920.mp3

 

Mise à jour, 3 novembre 2013

 

Une pensée pour les 20 ans de la mort d'Henri Thomas que le colloque du 7 décembre 2013 célèbrera.

 

 

Mise à jour, le 2 novembre 2013

 

Nous avons le plaisir de signaler que le dossier Thomas de la revue Europe est paru aujourd'hui, grâce à l'hospitalité de Jean-Baptiste Para que nous remercions ici. Vous trouverez le sommaire sur le site de cette revue indispensable pour tout amateur de littérature.

 

http://www.europe-revue.net/pages/recherche-par-titres/parutions-2013/Livret%20Maroc%20R.pdf

 

 

 

Mise à jour, le 1 novembre 2013

 

Malgré ce qui est écrit ici même le 25 octobre quant à l'éthique de RBL, il faut saluer le dossier considérable mis en place par Luc Autret et la plupart des articles critiques, nous y reviendrons dans un compte rendu précis ou un article d'ensemble sur l'actualité concernant cette oeuvre. L'un des intérêts de ce gros dossier est de nous donner à lire bien des articles de Thomas depuis longtemps inaccessibles grâce au travail de chercheur et d'éditeur de Luc Autret qu'on avait déjà vu à l'oeuvre dans les Carnets publiés aux  éditions Claire Paulhan ( voir rubrique Bibliographie ). Saluons aussi les quinze pages de Répères chronologiques que nous lui devons.

 

Mise à jour, le 31 octobre 2013

 

L'Institut français de Vienne rend hommage le 12 novembre 2013 au traducteur autrichien (Léopold Federmair) du Parjure.

 

http://institut-francais.at/vienne/fr/culture/nos-evenements.html

 

Nous avions salué ici même la publication de cette traduction, nous avions alors cité les articles élogieux parus dans des  journaux de langue allemande qui sont en archive sur notre site.

 

Manuel Chemineau, auteur d'un article sur cette traduction, dialoguera avec le traducteur. Dommage que Vienne soit un peu loin, mais peut être le Forum autrichien de Paris pourrait faire

le même type de rencontre.

 

Nous remercions L'Institut français de Vienne d'avoir bien voulu signaler l'adresse du site de la Société Henri Thomas.

 

 

 

Mise à jour,le 25 octobre 2013

 

Le salon de la revue a consacré une table ronde à Henri Thomas le vendredi 11 octobre 2013, à l'occasion du dossier Henri Thomas de la revue suisse RBL, il est pour le moins étonnant que la société Henri Thomas n'est pas été invitée à cette table ronde, ni même évoquée, puisque nous avons, depuis 2003, organisé cinq colloques Henri Thomas. Ceci dit, cet oubli est tout à fait cohérent avec le fait que cette revue ne mentionne pas l'adresse du site de la société Henri Thomas où, par contre, le travail des autres n'est pas occulté, la page Actualités en témoigne depuis 2006.

 

Mise à jour, le 20 septembre 2013.

 

La revue Europe consacre un dossier sur Henri Thomas, mis en place par Patrice Bougon qui paraîtra en novembre 2013. Outre des inédits de Thomas, le numéro est composé d'articles de Max Alhau, Pierre Lecoeur, Marion Spaier, Patrice Bougon, Jorge de Souza, Salim Jay, Luc Autret.

 

La Revue des Belles Lettres, éditée en Suisse, bien inspirée, consacre, elle aussi, un dossier à Henri Thomas, sous la direction de Luc Autret  et de Ghislaine Dunant, en octobre 2013. Le sommaire complet est à ce jour non disponible, mais nombreux textes de Thomas et des contributions de Gilles Ortlieb, Luc Autret, et d'autres. Nous y reviendrons.

 

 

 

Mise à jour, le 3 juin 2013

 

Signalons la parution d'un beau texte de Patrice Repusseau, poète et traducteur :

 

 INIZI qui fut publié dans le numéro spécial Henri Thomas de la revue aujourd'hui disparue Obsidiane, N°30, 1986.

 

Ce témoignage est donné à lire dans le volume de poésie de Patrice Repusseau : EBLEUI suivi de INZI  

 

Editions Non Lieu, 224 rue des Pyrénées, 75020 - Paris

Courriel : editionsnonlieu@yahoo.fr

 

Mise à jour, le  30 avril 2013

 

L'écrivain Christian Garcin nous donne à lire le texte qu'il a prononcé lors de la soirée Thomas de la SGDL. Nous le remercions.

 

 

Henri_Thomas_dans_le_soleil_de_midFRançois Garcin.docx

 

 

Mise à jour,le 15 avril 2013

 

Nous remercions l'un de nos membres, écriviain et critique, Max Alhau de nous avoir signalé cet événement :

 

L'Agenda de l'Hôtel de Massa, Société Des Gens de Lettres ( SGDL )

 

Henri Thomas, écrivain et traducteur - 24 avril 2013 

 

Projection du film
Henri Thomas, de François Barat, 1989, 54’
Collection «Les Hommes Livres» - Production INA/France3

 

suivie d’une table ronde avec les écrivains Christian Garcin et Gilles Ortlieb
en compagnie de Jérôme Prieur, écrivain et cinéaste.


Rencontre animée par Christine Goémé, administratrice de la SGDL, productrice à France Culture.

 

Entrée libre dans la limite des places disponibles

 

Renseignement et réservation : communication@sgdl.org Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

 

Mise à jour, le 30 mars 2013

 

Notre ami Salim Jay a publié au Maroc, dans le journal Le soir, daté du 26 mars 2013 un compte rendu du recueil des lettres adressées à Gérard Le Gouic intitulé Atlantiquement vôtre. Recueil signalé dans cette rubrique dès sa parution en janvier  2013.

 

http://www.lesoir-echos.com/henri-thomas-et-william-cliff-au-service-de-shakespeare/culture/69576/

 

 Mise à jour,le 14 mars 2013

 

Dana Ungureanu fera le 15 mars 2013, dans le cadre d'un colloque international sur le voyage, une conférence à l'université Timisuara ( Roumanie) intitulée :

 

Errance et récit dans La nuit de Londres.

 

Le programme de ce colloque est disponible sur le site de l'université :

 

http://www.litere.uvt.ro/publicatii/CIEFT/index.htm

 

Mise à jour, 13 mars 2013

 

La revue électronique SECOUSSE, dirigée par François Boddaert, dans son numéro de mars 2013, donne à lire un bel article de René de Ceccatty,  énoncé lors de la table ronde Henri Thomas, au Petit Palais, organisée par la Société Henri Thomas et la MEL en mai 2012.

 

http://www.revue-secousse.fr/Secousse-09/Sks09-Sommaire.html

 

Signalons que René de Ceccatty a consacré plusieurs articles sur Thomas dans Le Monde.

 

Le second hommage consiste en lettres, signées Henri Thomas, adressées à François Boddaert en relation avec le numéro spécial Thomas de la revue Obsidiane ( N°30). A lire donc en espérant une réédition de ce numéro introuvable. 

 

 Mise à jour, le 11 mars 2013

 

 

L'excellent site de la Fondation de la poste http://www.fondationlaposte.org/rubrique.php3?id_rubrique=65   qui avait déjà rendu compte des Carnets Henri Thomas, publiés aux Editions Claire Paulhan, propose dans son numéro de février 2013 une longue note de lecture  de Henri THOMAS, Atlantiquement vôtre. Lettres d’Henri Thomas à Gérard Le Gouic, (1974-1993), 258 pages, 18 euros, livre dont nous avons annoncé la publication dans cette page, à la date du 24 janvier 2013.

 

Mise à jour, le 1 mars 2013

 

Après lecture de la nouvelle J'étais en route pour la mer, publiée par Fata Morgana ( signalée ici même à la date du 17 janvier 2013  ), il apparaît que cet inédit bien intéressant est plus précisèment une version d'un texte paru antérieurement sous un autre titre : La Marionnette parle, dans la revue aujourd'hui disparue, Le serpent à plumes, n°16, été-automne 1992, pp.3-6. Une présentation sur l'origine et la date de ce texte n'aurait donc pas été superflue.

 

 

Mise à jour, le 24 janvier 2013

 

A partir de 1978, Henri Thomas habita souvent en Bretagne : Houat, Quiberon, une amité se noua avec Gérard Le Gouic, poète breton, une correspondance en témoigne qui a notamment l'intérêt d'évoquer la genèse des derniers livres,mais aussi  les soucis de l'existence de Thomas.

 

Henri THOMAS, Atlantiquement vôtre.

Lettres d’Henri Thomas à Gérard Le Gouic, (1974-1993), 258 pages, 18 euros.

 

Aux éditions des montagnes noires, janvier 2012. Tél: 02 97 23 68 71

 

Le livre peut être commandé en librairie, sur le site de l'éditeur ( frais d'envoi gratuit ) ou chez Amazon.com.

 

www.edmontagnesnoires.weebly.com

 

Mise à jour, le 17 janvier 2013

 

Les éditions Fata Morgana viennent de publier   :

 

Henri Thomas / J’étais en route pour la mer

<< Dans cette nouvelle inédite d’Henri Thomas, le personnage échappe à son auteur et au carcan de l’intrigue pour vagabonder parmi les souvenirs que lui remémorent le ciel maussade et la mer grise de la petite ville côtière où il séjourne et au gré des fantasmes que lui inspirent la tenancière de l’hôtel et ses voisins de chambre.Dessinsde Paul de Pignol
ISBN 978.2.85194.869.1, 48 pages, 14 x 22 cm, 10 euro s>>

 

( Présentation de l'éditeur )

 

Mise à jour, le 12 janvier 2012

 

Le célèbre Frankfurter Allgemeine Zeitung ( équivalent au Monde des livres), a consacré une  pleine page à la traduction du Parjure effectuée par Léopold Federmair. dans son édition du samedi 12 janvier  2012, n°10, page 33.

 

thaler_thomas.pdf

 

 

 

Mise à jour, le 12 décembre 2012

 

<span style="font-size: 115%;" _mce_style="font-size: 115%;">Manuel CHEMINEAU </span>et KATHARINA WAPPELont publié un long article sur la traduction du Parjuredans le journal autrichien 
 
<a href="http://www.wienerzeitung.at/themen_channel/literatur/autoren/506954_Die-Musik-hinter-den-Worten.html" target="_blank" _mce_href="http://www.wienerzeitung.at/themen_channel/literatur/autoren/506954_Die-Musik-hinter-den-Worten.html">http://www.wienerzeitung.at/themen_channel/literatur/autoren/506954_Die-Musik-hinter-den-Worten.html</a>

&nbsp;

Mise à jour, le 3 décembre 2012

 

Thomas LAUX, auteur, traducteur, critique vient de publier un article sur la traduction en allemand du Parjure, évoquée ici même le 19 octobre 2012.

 

 "Die Kunst des Codierens: Der französische Schriftsteller Henri Thomas und sein Roman 'Der Meineid'", in: Neue Zürcher Zeitung vom 1.12.2012 (No. 281, p. 24).

"L'art du codage : l'écrivain francais Henri Thomas et son roman "Le parjure"

 

<a href="http://www.nzz.ch/aktuell/feuilleton/literatur-und-kunst/die-kunst-des-codierens-1.17861248" target="_blank" _mce_href="http://www.nzz.ch/aktuell/feuilleton/literatur-und-kunst/die-kunst-des-codierens-1.17861248">http://www.nzz.ch/aktuell/feuilleton/literatur-und-kunst/die-kunst-des-codierens-1.17861248</a>

 

Toute personne pouvant proposer une traduction en français est bienvenue.

 

 Mise à jour, le 19 octobre 2012

 

Léopold Federmair, vient de traduire en allemand,  Le Parjure, aux éditions KLEVER verlag, Wien, avec une postface de Wolfgang Hermann.

Un événement qui, espérons-le, pourra donner lieu à des rencontres dans les Instituts français en Autriche et en Allemagne,  

 

Der Meineid

 

www.klever-verlag.com

 

 

Mise à jour, le  6 août 2012 : 

 

Gérard Le Gouic,qui prépare l'édition des lettres qu'il a reçues d'Henri Thomas, nous confie un texte qui servira de préface à ce livre que nous attendons.

 

HENRI_THOMAS_Houat_2.doc

 

Souhaitons que des villes de Bretagnerendent hommage à Henri Thomas, lui qui séjourna tant d'années dans cette région.

 

 

 

Mise à jour, le 5 juillet 2012 :

 

Pauline JODINa la générosité de nous donner un tableau généalogique de la famille Henri Thomas qu'elle a constitué. On peut  le consulter sur la page BIOGRAPHIE.

 

Signalons, pour qui ne le connaît pas, l'essai biographique indispensable de son mari, François JODIN :

 

Henri Thomas ou les feux du solitaireéditions La licorne, Epinal, 1992.

 

Mise à jour, le 2 juillet 2012 :

 

Le dix-huitème prix Henri THOMAS de la ville de Saint-Dié  :

 

En 2012, lors des délibérations du 30 juin 2012, le jury a attribué les prix suivants :

 

Prix Henri THOMAS :

 

Marie-José GONAND-STUCK,  de Chantraine,  pour sa nouvelle «Bonjour Maman »

 

Prix François Jodin : non décerné cette année

 

2 Mention Spéciales :

 

Yves VALENTIN,  Epinal  pour « Elle part »

 

Sébastien PERRIN,  Baume les Dames (né dans les Vosges), pour « Le chant du grillon »

 

Mise à jour, le 27 juin 2012.

 

Jorge de Sousanous a signalé la traduction de poèmes de Thomas dans un recueil collectif INTO THE DEEP STREET, Seven french poets, 1938-2008, edited and translated by Jennie Feldman and Stephne Romer, et aussi la traduction en portugais de La Nuit de Londres, par J. Henriques : A noite de Londres, Editions Antigona, Lisboa, 1992, nous le remercions.

Les lecteurs de ce site sont invités à me signaler toute traduction,  partielle ou non, ce qui permettra de cartographier la réception internationale de Thomas.

 

 

Mise à jour, le 18 juin 2012 :

 

Bonne nouvelle, en juin 2012, le site de France Culture, en collaboration avec la MEL,a mis sur l'une de ses pages, la table ronde sur Henri Thomas du Petit Palais qui eut lieu le  9 mai 2012.

 

N'hésitez pas à diffuser le lien de cet enregistrement à vos ami(e)s et à télécharger cet enregistrement sur votre ordinateur car nous ne savons pas combien de temps cette émission sera conservée par France Culture.

 

http://www.franceculture.fr/hommage-a-henri-thomas

 

 

Mise à jour, le 14 juin 2012 :

 

Voici bien longtemps que le Magazine littéraire n'avait pas évoqué notre auteur, aussi faut-il saluer l'article de Yves Leclair : << Admiration : Henri Thomas>>,p.92-93. 

 

Un encart signale, pour notre joie, le dossier Henri Thomas d'Europedont nous sommes en charge, et  le colloque Henri Thomas du  Paris 7 du 7 décembre 2012 mais le Magazine littéraire a oublié d'indiquer l'adresse email de l'organisateur et du présent site, ce qui est un peu dommage puisque le site de la société Henri Thomas signale toutes les informations relatives à cet écrivain depuis 2006 et permet d'établir un lien entre lecteurs français,mais aussi étrangers.

 

Nous avons écrit à la rédaction de cet excellent Magazine Littérairepour qu'une brève signale, dans un prochain numéro, l'adresse du site HT de sorte que la dynamique produite par cet article d'Yves Leclair soit encore plus puissante !

 

 

 

Mise à jour, le 8 juin 2012 :

 

 

Le vendredi 29 juin 2012,conférence de Patrice Bougon : "Harry et les fantômes du passé" ( Une lecture de la nouvelle Harry,publiée dans le recueil La Cible, Gallimard, 1955) à Saint-Dié des Vosges, dans le cadre du dix-huitème Prix de la nouvelle Henri Thomas. On trouve de plus amples informations sur le site de la médiathèque de cette ville où Thomas fut pensionnaire : 

http://www.saint-die.eu/prix-henri-thomas.html

 

24 et 26 mai 2012. Pour mémoire, signalons notre effort pour faire connaître l'oeuvre de notre auteur à l'étranger, voire de la faire traduire : Conférences de Patrice Bougon : "Autobiographie, roman, poésie dans Ai-je une partie et Les Déserteurs de Henri Thomas" à l'université de Unimat, campus de Cacéres et de Tangara, Brésil( en français et portugais). 

 

 

 

Mise à jour, le 2 mai 2012 :

 

Table ronde d'écrivains animée par Patrice Bougon / Société Henri Thomas, ( http://henrithomas.pbworks.com/ ) pour le centenaire de Henri Thomas, au Petit Palais, dans le cadre des rencontres de la MEL ( Maison des écrivains et de la littérature, dirigée par Sylvie Gouttebaron), le mercredi 9 mai 2012, de 13 heures à 14 h30. Merci à Camille Thomine et à Yves Boudier.

 

Présentation de la rencontre et renseignements pratiques sur le site de la MEL :
 
http://www.m-e-l.fr/rencontres-publiques.php?id=286

 

 

 Mise à jour, le 20 avril 2012

 

Signalons qu'une traduction en allemand du Parjure, signée Léopold Federmair,sera publiée en septembre, 2012. Je rappelle que Léopold a déjà traduit dans sa langue Le cinéma dans la grange. ( voir rubriques Réception allemande). Souhaitons que le Goethe Institut organise une rencontre pour cet événement.

 

Mise à jour, le 15 avril 2012

 

Je signale qu'un lecteur anglais du site - Paul Stephenson - a traduit - Harry - et des poèmes de Henri Thomas que nous allons  donner à lire selon son souhait, mais nous devons demander l'autorisation de Gallimard que nous allons contacter au plus vite.

 

Je me permets de signaler une conférence portant sur cette nouvelle fascinante Harry , à Saint-Dié-des-Vosges,à l'occasion du dix-huitième Prix Henri Thomas,organisé par cette ville, chère à Henri Thomas, le 29 juin 2012.

 

 

Mise à jour le 15 mars 2012

 

Signalons la remise du prix Henri Thomas qui aura lieu le 30 juin 2012 à Saint-Dié-des-Vosges, ville bien connue des lecteurs de Henri Thomas.

(Précisions à venir )

 

 

Mise à jour, le 13 février 2012

 

 Je me permets de signaler deux études que je( P.B) viens de publier, l'une en France, l'autre aux USA, en espérant ouvrir un dialogue avec ceux dont il est question dans Le Parjure et John Perkins.

 

 1) « Henri Thomas et Jean-Michel Rey : Spectralités » (Hasards de la lecture, croyance, traduction, correspondance), Actes du colloque international Modalités du croire : croyance, créance, crédit. Autour de l’œuvre de Jean-Michel Rey, dirigé par Christian Doumet, Bruno Clément, Denis Bertrand, Editions Hermann, janvier 2012, p.173-197.

 

2) « Figures de la lettre et pensée du roman dans la correspondance de Henri Thomas » (la correspondance d’un écrivain, effets de la lecture de Hölderlin), Revues Sites, Contemporary French & Francophone Studies,Université du Connecticut, N° 16.1, Open Issue, janvier 2012, p.15-23.

 

 Mise à jour, le 12 juillet 2011

 

Bonne nouvelle, une revue qui a déjà fait beaucoup pour mieux faire connaître Henri Thomas  - Théodore Balmoral  - publie quinze lettres inédites, de Jean Paulhan à Henri Thomas.

 

Elles sont précédées d'un texte de Bernard Baillaud, « La Légèreté de Henri Thomas » (n°65, printemps-été 2011, p. 155-182).

 

S'adresser à Thierry Bouchard, Théodore Balmoral, 5, rue Neuve-Tudelle

 

45000 ORLÉANS. 20 € le numéro, frais de port en sus.

 

Abonnement annuel 39 €.

 

Mise à jour, le 29 juin 2011

 

Grand événement àVienne en Isère. 

 

Dans le cadre deLettre sur Cour, du 29 juillet au 13 juillet 2011.

 

Deux jours consacrés à Henri Thomas notamment avecJean-Christophe Bailly et le film deJérôme Prieur  et François Barat

 

Le programme de la semaine se trouve ici :

 

LSC-DP1.PDF

 

 

 

Mise à jour, le 10 janvier 2011

 

Dans le cadre du séminaire du Ceracc, dirigé par Marc Dambre et Bruno Blankeman, de l'université Paris III, Patrice Bougondonnera une conférence, consacrée à Ai-je une patrie, Gallimard, 1991 et au récit "corse"

 Les déserteurs, Gallimard, 1951 ( autobiographie, fiction et biographie  ).

Un résumé sera donné à lire prochainement.

 

Le vendredi 11 février 2011, de 18 à 20 heures à Université Paris Sorbonne, 17 rue de la Sorbonne,  3 étage, salle des doctorats.

 

Le séminaire est ouvert à toutes et tous.

 

 

 

Mise à jour, le 8 janvier  2011

 

Saluons un nouveau membre de la société Henri Thomas, Marion Speier qui est inscrite en thèse sur Henri Thomas, avec Michel Collot à Paris III 

 

Mise à jour, le 5 janvier 2011

 

Les essais sur Henri Thomas sont rares, saluons donc  Marie-Hélène Gauthier qui, nous venons de l'apprendre, a publié, voici quelques mois,  aux Editions du Sandre, un essai :

 

La Poéthique

Gadenne, Henri Thomas, Georges Perros

 

Préface de Thierry Gillyboeuf

450  pages, 39 euros.

 

On trouve une présentation de l'ouvrage, qui adopte une perspective philosophique, sur le site des éditions

http://www.editionsdusandre.com/

 

Mise à jour, le 10 décembre 2010

 

Leopold Federmair qui a traduit des textes de Henri Thomas ( voir Rubrique Réception allemande )  a consacré un chapitre de son essai à  Henri Thomas

 

<< Die kleinen Romantiker>> dans Formen der Unruhe. Essays zur Literatur. Wien, Klever Verlag 2008, pp. 268-313.

 

 

 

Mise à jour, le 7 juillet 2010

 

Nous venons d'apprendre le décès de la marraine de ce site Henri Thomas Arlette Birot ( voir sa lettre généreuse à la rubrique Membres) qui fut longtemps la présidente de la société des amis de Henri Thomas. Saluons son dynamisme, sa générosité et son action poétique, celle-ci a et aura des suites, sans fin.

 

Mise à jour, le 25 mai 2010

 

Signalons, une fois de plus, le site incontournable quant à la poésie -Poezibao- dirigé par  Florence Trocmé.

 

A la date du 20 mai, on peut lire sur ce site un article relatif au grand prix Schiller reçu par Philippe Jaccottetqui a tenu  à rendre hommage  à son ami Henri Thomas par la lecture de quatre poèmes.   

http://poezibao.typepad.com/poezibao/2010/05/philippe-jaccottet-re%C3%A7oit-le-grand-prix-schiller-%C3%A0-soleure-suisse-.html

 

Mise à jour, le 20 mars 2010

 

Signalons l'étude d'Alain Schaffner : <<L'écriture ascétique d'Henri Thomas >>, (sur Le Promontoire), parue dans les Actes du colloque Les Ecritures Blanches, dirigé par Dominique Viart et Dominique Rabaté, Presses universitaires de Saint Etienne, 2009, pp. 189- 198.

 

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Mise à jour, le 21 avril 2009

 

Pierre Lecoeur,le 13 juin  2009 va parler de Henri Thomas dans un important  colloque ( 11 - 13 juin 2009 ) organisé par Michel Briand, Colette Camelin, Liliane Louvel consacré à l'intensité, qui aura lieu à l'université de Poitiers.

 

Titre de sa conférence : 

15h15 Pierre Lecoeur (Université d’Orléans), « “J’ai parlé de choses qui me frappaient…”

l’écriture de l’intensité dans les romans et les carnets de Henri Thomas ».

 

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Mise à jour, le 23 mars 2009

 

Dans la cadre d'une journée d'études organisée par Catherine Violet , samedi  4 avril  2009 à l'ENS, 45 rue d’Ulm – 75005 Paris, amphi Rataud

Luc Autret parlera dans la matinée de son travail pour l'édition du volume paru aux éditions Claire Paulhan dont nous avons fait état à plusieurs reprises sur ce site.

 

LUC AUTRET : Annoter les Carnets (1934-1948) d’Henri Thomas

**

Programme complet de la journée d'études :

« Genèses du Journal »

Journée d’étude, 4 avril 2009

Matinée, 10h – 12h30

Coordination : Catherine Viollet

Philippe Lejeune

Introduction

, Martine Lévy (Éditions La Cause des Livres)

Le journal d'Aline de Lens. Autobiographie d'une édition

Bruno Curatolo (Centre Jacques Petit, Université de Franche-Comté)

Le Journalde Claudel, du manuscrit à l’édition

Luc Autret

Annoter les Carnets (1934-1948) d’Henri Thomas

Après-midi, 14h30 – 17h30

Coordination : Marie-Françoise Lemonnier-Delpy

Cécile Meynard et Lucy Garnier(Université de Grenoble 3 – Stendhal)

Problèmes génétiques et génériques des Journaux et papiers de Stendhal : solutions éditoriales ?

Nathalie Léger (IMEC)

Éditer le Journal de deuilde Roland Barthes

Entretien avec Véronique Montémont (ATILF, Institut universitaire de France)

Jenny Saastamoinen (cinéaste)

Présentation du film Loin de moi(documentaire sur l’écriture diaristique, 43 mn)

Projection du film, débat

 

Organisation : Catherine Viollet, cviollet@wanadoo.fr

 

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Mise à jour, le 15 mars 2009.

 

Nous découvrons avec retard que La Cible, Gallimard, 1955, ce recueil de nouvelles a été republié en juillet 2008.

Saluons ce geste de soutien de Gallimard, en souhaitant que les services de presse de cette maison fidèle à notre auteur nous préviennent une prochaine fois et souhaitons que des notes de lecture, même après coup, saluent cet événement.

 

                                                          

 

 

 

Un autre volume de nouvelles - Histoire de Pierrot et de quelques autres - est introuvable depuis des années.

Souhaitons une réédition.

 

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Mise à jour, le 3 mars 2009

 

Je remercie vivement Chantal Colomb-Guillaumequi a traduit, avec la collaboration de Christian Reidenbach l'article de Léopold Federmair, paru dans Die Zeit, le 17 juillet 2008, n° 30.

 

« Je creuse et creuse »

 

Le roman Le Promontoire d’Henri Thomas, traduit par Paul Celan(éd. Suhrkamp).

 

Lorsque Paul Celan rencontra en février 1961 le poète et romancier français Henri Thomas, les deux hommes semblaient avoir atteint le sommet de leur carrière. Celan avait reçu le Prix Büchner, Thomas le Prix Médicis pour son roman John Perkins et, fin 1961, le Prix Fémina pour Le Promontoire, livre dont Celan entreprit la traduction en décembre de la même année. Par ailleurs, Celan comme Thomas furent et restèrent tous deux des existences menacées cherchant à se maintenir à une certaine distance du monde littéraire, se heurtant souvent au rejet et à l’hostilité, ou les provoquant. Henri Thomas publiait chez Gallimard, il avait réalisé divers travaux pour cet éditeur ainsi que pour d’autres remarquables maisons d’édition, notamment des traductions : Ernst Jünger, Adalbert Stifter, Hermann Melville, Pouchkine. Il se peut que Celan ait espéré avoir accès aux sanctuaires de la scène parisienne par sa connaissance de Thomas. Dans l’histoire de la littérature française du XXème siècle, Thomas est surtout une célébrité établie en tant que romancier. Il connaissait les surréalistes du cercle d’André Breton mais ne s’était étroitement lié qu’avec Antonin Artaud, marginal souvent idéalisé. Les courants littéraires de son temps ne lui échappaient aucunement ; malgré son rejet du Nouveau Roman, surgissent çà et là dans ses livres des éléments objectivistes, avec des passages formulés par le sévère point de vue d’un témoin. Ce qui le distingue cependant, et le rendait aussi vraisemblablement suspect pour certains, c’est « l’écriture du secret » qui laisse des traces dans ses récits et empêche souvent le dénouement des histoires qui y sont racontées et qui sont souvent entrelacées les unes dans les autres. Le personnage principal du Parjure (1964), son dernier grand roman, est une fois qualifié de « petit romantique ». Cet attribut vaut aussi pour l’auteur, accompagné du rejet prévisible qu’il laisse attendre en un temps qui n’a rien de romantique. Le Promontoire se situe en Corse, île rude certes belle, mais pas du tout idyllique, assez froide en hiver. L’action, comme la plupart de ce que Thomas a écrit, repose sur un fond autobiographique.

Dans un cahier provenant des Etats-Unis, où Thomas a enseigné la littérature française, il est dit à la date du 29 juin 1959 : « Je ne sais pas. Est-ce que j'ai su ? Hors des moments où j'écrivais, pris par les mots, dans le mouvement du langage, me suis-je senti sûr de quoi que ce soit ? » Thomas, originaire des Vosges, se sentait attiré par les îles. Il connaissait la Corse par sa propre expérience et passa les dernières années de sa vie essentiellement sur une petite île au large de la Bretagne. Dans Le Promontoire tout comme dans Le Parjure apparaissent, telles des entités mystiques mais aussi menaçantes, des îles où, à des moments particuliers, dans la vie quotidienne, peut reluire un fond d’être habituellement caché.

Une grande partie du Promontoire consiste en histoires et rumeurs de villages que le narrateur connaît par ouï-dire et retranscrit dans ses carnets. De nombreux livres de Thomas ont ce caractère de cahier qui entraîne que le processus de l’écriture est reproduit dans le texte et que ce qui a été noté une fois est toujours mis de nouveau en question ou apparaît sous une autre lumière. Le manque d’assurance ne tient pas seulement à l’état d’âme thomasien, c’est une impulsion de son écriture, pour aller vers un savoir qui se dérobe in extremis à l’accès (mais en chemin s’installe un autre savoir, modeste, provisoire).

Ce projet a dû produire un effet attractif sur Celan. Il se recouvrait par moment avec le sien. Dans le cas du Promontoire intervient une thématique qui devait particulièrement émouvoir le sombre chantre orphique de l’absence. Le roman de Thomas tourne en effet autour de la mort – meurtre, suicide ? – incomplètement élucidée d’une jeune fille qui est en train de perdre la vue, mort qui à ce point des cahiers remonte déjà à quelques années. Une énigmatique scène-clé racontée avec une clarté mordante montre le sujet narrateur en train de creuser la tombe d’un parent de la jeune fille. Le narrateur commente la scène : « La saleté ici, en ce moment, la boue que j’ai rapportée, que j’ai sur moi ! Je n’ai pas le temps de nettoyer, je tape de tous les côtés, je pioche toujours comme le Sarde, moi ».

« Der Schmutz hier, der Kot, den ich mitgeschleppt habe, mit dem ich beladen bin! Ich habe keine Zeit zum Saubermachen, ich haue drauf los, ich schaufle und schaufle, immer noch, jawohl », telle est la traduction de Celan, et Barbara Wiedemann fait observer dans sa postface à ce sujet que Celan ici a ajouté « Jawohl », terme sévère, quasi militaire. Ajout oui, le traducteur est ici plus riche que l’auteur de l’original, bien qu’une comparaison montre avant toute chose que Celan n’a pas seulement traduit des contenus, mais aussi – et en particulier dans le cas présent − des rythmes et des sonorités. En effet, il y a aussi dans l’original une sorte d’apposition, un ajout, le deuxième « moi » à côté du « je » de la première personne ; une redondance qui ne se laisse pas rendre si facilement en allemand. On voit que Celan, à cet endroit délicat du récit, fut pour ainsi dire envahi par son propre travail et que sa traduction menaçait d’échapper à tout contrôle. Celan l’interrompit, le texte resta à l’état de fragment et ne fut pas publié de son temps. Barbara Wiedemann a maintenant, très précautionneusement et plutôt dans l’esprit de Celan que de Thomas, traduit les pages restantes et doté le tout d’une postface riche en informations, de remarques critiques tout comme de photos du manuscrit de la traduction.

Le verbe « schaufeln » (creuser) est poétiquement chargé dans l’œuvre de Celan ; on le rencontre parmi d’autres dans la « Fugue de la mort » : « Nous buvons et buvons / nous creusons (schaufeln) une tombe dans l’air nul n’y est à l’étroit ». Wiedemann se souvient que Celan lui-même a été contraint à « creuser et creuser » (schaufeln und schaufeln) dans un camp de travail roumain en 1943/1944. La répétition dans la traduction du Promontoire peut faire penser, comme une sorte de citation-type, à des poèmes comme la « Fugue de la mort ». Un lien encore plus étroit se révèle quand on relie le Psaume conçu début 1961 et que l’on tombe sur cette phrase : « Personne ne nous pétrira plus de terre et d’argile ». L’action de creuser et d’enterrer se transforme en un acte de création que la vie refuse et que la poésie peut à la rigueur accomplir. Un exister dans la non-existence, c’est ce dont le sujet narrateur du Promontoire fait aussi l’expérience. La seule phrase écrite en majuscules, qui est ensuite répétée plusieurs fois, est : NOUS N’EXISTONS PAS (es gibt uns nicht ou wir existieren nicht). Celan a interrompu son travail de traduction quelques pages avant cette phrase, comme si d’un coup la proximité avec son œuvre personnelle lui avait paru trop grande. Fin 1961, à ce moment, il était encore sous le choc de la dite affaire Goll. (Claire Goll, la veuve de l’écrivain Ivan Goll, avait reproché à Celan d’avoir plagié l’œuvre de son mari.)

Les accusations de plagiat adressées au poète sont en soi ineptes. Des poèmes peuvent être bons ou mauvais, mais pas copiés. Considéré autrement : la plupart des poètes travaillent avec un matériau linguistique forgé, soit à partir de leur vie, soit à partir de leur poésie. Peu d’entre eux sont également traducteurs. Que leurs propres écluses poétiques s’ouvrent lorsqu’ils traduisent, si quelque chose de pareil existe, n’a rien d’étonnant. Chez Celan ce processus d’échange était, spécialement dans ses traductions de Mandelstam, particulièrement intense.

Cette proximité fraternelle semble s’être également produite pour Henri Thomas. Mais après l’affaire Goll, Celan a dû être tellement déstabilisé qu’il a laissé tomber la traduction lorsqu’elle lui a paru trop brûlante. Au rythme où Celan traduisait page après page en décembre 1961, comme s’il devait dévorer le texte, on ne peut que s’étonner. Le fragment, qui est à présent publié avec son complément, montre de nombreuses traces d’un premier jet ; la recherche tâtonnante, assez nerveuse du ton juste est au début clairement décelable. Le lecteur n’accède donc pas au plaisir d’un produit bien poli, mais il va être abondamment dédommagé de ce manque par la documentation concernant un échec extrêmement significatif qu’une excellente introduction au monde de l’œuvre de l’auteur français Henri Thomas peut offrir.

Après que Celan se fut définitivement décommandé en février 1962 auprès de l’éditeur Hanser qui avait acquis les droits de traduction, Elmar Tophoven, l’un des meilleurs traducteurs de l’époque, qui devint en 1970 le successeur de Celan au poste de lecteur à l’École Normale Supérieure de la rue d’Ulm, fut chargé de ce travail. Le livre parut en 1964 sous le titre qui n’est ni correct, ni harmonieux (comme l’est le titre de l’original), de Das Kap (littéralement Le Cap). Das Vorgebirge (Le Promontoire), même s’il est rarement utilisé en allemand, est un mot beaucoup plus riche de références qui restitue avec exactitude la composition du mot français.

Malgré le retard d’un demi-siècle de la publication de la traduction de Celan, Thomas reste encore à découvrir, en tant qu’auteur, dans un roman accessible en langue allemande. Les livres de Thomas parus dans les années soixante sont épuisés, la majeure partie n’est pas traduite, notamment Le Parjure, dont le personnage principal rappelle Paul de Man, le déconstructiviste américain au sombre passé belge. À propos de ce livre, Derrida écrivit un important commentaire après que de Man, qui s’était lié d’amitié avec lui, lui eut dit que s’il voulait apprendre quelque chose de sa vie passée, il fallait qu’il lise Le Parjure. Avec son style de pensée acrobatique, Derrida exposa comment l’expérience de la vie et l’art d’écrire se mêlent de façon inextricable, pour ouvrir les interstices envahis par les habitudes de la vie quotidienne, des zones entre « Rien et Presque-rien » qui exigent raffinement et sensibilité pour effectivement être discernées.

Leopold Federmair

 

Article paru dans Die Zeit, le 17 juillet 2008, n° 30, traduit de l’allemand par Chantal Colomb-Guillaume

avec la collaboration de Christian Reidenbach

 

Mise à jour, le 9 janvier 2009

 

Signalons la présentation par Luc Autret d'un texte de Thomas consacré à l'essai  Clés de la poésiede Jean Paulhan et de lettres de H.T adressés à J.Paulhan dans le numéro 53, Hiver 2008/2009 de la revue Théodore Balmoral, toujours fidèle à la mémoire de H.T. ( précisions à venir ).

 

Mise à jour, le 16 octobre 2008

 

Signalons, à nouveau, la conférence à l'Institut français de Bonnde Pierre Lecoeur :

 

Conférence: Dr.Pierre Lecoeur: "Henri Thomas l´insulaire"

 

Le 04/11/2008

 

Robert-Schuman-Institut, 04. 11. 08, 18h00

Reconnu par ses pairs (notamment par Blanchot et Jaccottet), Henri Thomas (1912-1993) reste un auteur assez peu connu du grand public et même de l´Université. Figure atypique du monde littéraire, l´auteur de La nuit de Londres et du Promontoire y occupait une position à la fois centrale et marginale. Il en a fréquenté les figures majeures (Gide, Paulhan, Artaud…), a été un romancier, nouvelliste et poète, un homme de revue (84, Obsidiane…), un traducteur réputé (Jünger, Goethe, Shakespeare, Pouchkine…), l´auteur d´une vaste et passionnante correspondance, et un être quelque peu marginal, qui a payé cher sa liberté, vivant précairement et cherchant « le lieu et la formule » d´un pays à l´autre. La vie et l´œuvre de Thomas sont la quête d´une présence à soi et au monde ; cette recherche est étroitement liée à la marginalité présente dans les romans sous un triple forme : la marginalité sociale, la fascination pour la figure du « fuyard » et la révérence à l´égard d´une part de l´expérience qui échapperait aux rets du langage. Ainsi les coordonnées à l´aide desquelles Pierre Lecoeur, chargé de cours de théorie littéraire à l´Université d´Orléans-la-Source, auteur de la première thèse sur l´œuvre romanesque d´Henri Thomas (2007) et de poèmes (à paraître dans la Nouvelle Revue Française), tentera de situer une grande figure des lettres françaises méconnue dont la devise était : « Vous ne m´aurez pas ».

Entrée libre.

Une initiative de l´Institut Robert Schuman, en coopération avec l´Institut de Romanistique de l´université de Bonn, dans le cadre de Ringvorlesung: Frankreich.

 

Mise à jour le 8 octobre 2008

 

Signalons dans l'excellente revue Europe,Octobre 2008, une longue note de lecture, signée Tristan Hordé, pp 362-364, consacrée à Carnets 1934-1948 de Henri Thomas aux Ed. Claire Paulhan.

 

Le 19 septembre 2008

 

Je place, avec un retard dont je prie Florence Chapirode bien vouloir m'excuser, son texte de réaction à l'article fort discutable signé Jean-José Marchand,consacré à Carnets 1934-1948, paru dans La quinzaine littéraire, en mars 2008.

Pour lire le texte de Florence Chapiro, consulter le rubrique Livres.

 

Le 16 septembre 2008L 

 

L'institut français de Bonn qui aura lieu le 4 novembre 2008, à 18 heures. Pierre Lecoeur: "Henri Thomas l´insulaire" (Robert-Schuman-Institut, 04. 11. 08, 18h00) Institut Robert Schuman, en coopération avec l´Institut de Romanistique de l´université de Bonn, dans le cadre de Ringvorlesung: Frankreich. Léopold Federmair,l'un des deux traducteurs en langue allemande de Thomas ( voir Rubrique Bibliographie ) nous signale dans le célèbre "Frankfurter Allgemeine Zeitung", 12.08.2008, Nr. 187 / Page 38, un article de Joseph Hanimann, sur la traduction du Promontoire effectuée par Celan13 septembre 2008 

Pierre Lecoeur nous signale sa conférence future à

Le site de L'Institut :

http://www.kultur-frankreich.de/index.php?ville=3&cal

Présentation de l'Institut :

 

 

Dr. Pierre Lecoeur: "Henri Thomas l´insulaire"

 

Reconnu par ses pairs (notamment par Blanchot et Jaccottet), Henri Thomas (1912-1993) reste un auteur assez peu connu du grand public et même de l´Université. Figure atypique du monde littéraire, l´auteur de La nuit de Londres et du Promontoire y occupait une position à la fois centrale et marginale. Il en a fréquenté les figures majeures (Gide, Paulhan, Artaud…), a été un romancier, nouvelliste et poète, un homme de revue (84, Obsidiane…), un traducteur réputé (Jünger, Goethe, Shakespeare, Pouchkine…), l´auteur d´une vaste et passionnante correspondance, et un être quelque peu marginal, qui a payé cher sa liberté, vivant précairement et cherchant « le lieu et la formule » d´un pays à l´autre. La vie et l´œuvre de Thomas sont la quête d´une présence à soi et au monde ; cette recherche est étroitement liée à la marginalité présente dans les romans sous un triple forme : la marginalité sociale, la fascination pour la figure du « fuyard » et la révérence à l´égard d´une part de l´expérience qui échapperait aux rets du langage. Ainsi les coordonnées à l´aide desquelles Pierre Lecoeur, chargé de cours de théorie littéraire à l´Université d´Orléans-la-Source, auteur de la première thèse sur l´œuvre romanesque d´Henri Thomas (2007) et de poèmes (à paraître dans la Nouvelle Revue Française), tentera de situer une grande figure des lettres françaises méconnue dont la devise était : « Vous ne m´aurez pas ».

Entrée libre.

Une initiative de l´

Le réseau culturel français

en Allemagne

14 septembre 2008

:

http://www.faz.net/s/Rub79A33397BE834406A5D2BFA87FD13913/Doc~EB4D6E1D1C3B144B292AC23A316F6BCBB~ATpl~Ecommon~Scontent.html

 

Thomas Laux, l'un des deux traducteurs en langue allemande de HT ( voir rubrique Bibliographie ) nous signale son article de présentation générale de la vie et l'oeuvre de Henri Thomas: Angelika Overath concernant la traduction du Promontoire effectuée par Paul Celan. Ce compte rendu est intitulé:

"Funkelnder Solitär. Der französische Schriftsteller Henri Thomas (1912-1993) und sein Werk", in: NEUE ZÜRCHER ZEITUNG vom 13./14.9.2008.

 

http://www.nzz.ch/nachrichten/kultur/literatur_und_kunst/funkelnder_solitaer_1.830336.html

 

Il nous recommande aussi l'article de

 

"Gezeitenwechsel der Wirklichkeit: Paul Celans Übertragung von Henri Thomas' 'Das Vorgebirge' " in: NEUE ZÜRCHER ZEITUNG vom 13./14.9.2008.

http://www.nzz.ch/nachrichten/kultur/literatur_und_kunst/gezeitenwechsel_der_wirklichkeit_1.830340.html

 

Souhaitons que nous puissions lire un jour ces articles, et d'autres évoqués en cette rubrique, en langue française. Avis aux traducteurs, lecteurs de ce site HT !

 

6 août 2008

 

Deux articles, en langue allemande, rendent compte de la parution de la traduction du Promontoire, effectuée par Paul Celan, en 1962, dont nous avons signalé la parution récente ( voir ci-dessous, 15 mai 2008).

 

1)L'un est signé Léopold Federmair

 

"Das Vorgebirge" dans "Die Zeit" :

 

http://www.zeit.de/2008/30/L-Thomas-NL

 

2)L'autre, signé de Thomas Laux, dans le FRANKFURTER RUNDSCHAU, 15 juillet 2008, intitulé :

" Das Rätsel von Korsika. In der Übersetzung Celans : 'Das Vorgebirge' von Henri Thomas"

http://www.fr-online.de/in_und_ausland/kultur_und_medien/feuilleton/?em_cnt=1367425

 

15 mai 2008

 

On nous signale que, le 28 avril 2008, à l'Institut franco-allemand de Tübingen, il fut question de Henri Thomas. ( Précisions dans nos rubriques Actualités et Bibliographie )

http://www.kultur-frankreich.de/index.php?ville=23&type=3&event_id=3410&lg=fr

( Présentation de cet Institut : )

 

HENRI THOMAS, LE PROMONTOIRE

Barbara Wiedemannprésente la nouvelle édition allemande de „Das Vorgebirge“ de Henri Thomas.

Le Promontoire, Prix Femina 1961, avait été partiellement traduit par Paul Celan, qui avait aussi rédigé un avant-propos : en parachevant le travail de Celan, Barbara Wiedemann nous propose une nouvelle édition-traduction du Promontoire aux éditions Suhrkamp.

En langue française et allemande.

In Zusammenarbeit mit der Buchhandlung Gastl.

Im Institut. Eintritt: 4,- / 2,-

.

Le 8 mai 2009

Alain Veinstein, dans son intéressante émission Du jour au lendemain, s'entretient avecLuc Autret, le vendredi9 mai à 23.30.

Rubrique Bibliographie, nous avions signalé ceci :

 

Les heures lentes, transcription des Nuits magnétiques, 1983, France Culture, éditions Arléa, 2004. La fenêtre et la lucarne, cet auteur qui fut aussi l'éditeur, chez Plon, en 1989, du carnet, Compté, pesé, divisé.>>t.

 

 

Alain Veinstein, remercions-le, salue régulièrement l'oeuvre de Henri Thomas. Dans notre

<< Alain Veinstein ,

Saluons la belle préface de Veinstein,

 

Henri Thomas

Editions Claire Paulhan - avril 2008

 

(Présentation du Site

Henri Thomas

 

« Un homme raconte son histoire, et ce sera celle de tous et de personne » : cette édition originale des premières années du Journal de Henri Thomas, qui vont de 1934 — fin de son adolescence sensible et imaginative, jusqu’au lendemain de la mort d’Antonin Artaud —, a été établie par sa fille,

Fils d’un paysan vosgien, mort des suites de la grande guerre, et d’une institutrice, Henri (...)

 

    • 28 avril 2008
    •  

Signalons une longue note de lecture précise, signée Florence Chapiro, consacrée aux Actes du colloque : Henri Thomas, l'écriture du secret( voir Rubrique Colloque), dans la NRF, avril 2008, N° 585, p.316-320.

 

    • 2 avril 2008
    •  
    • Carnets 1934-1948 de Henri Thomas aux Ed. Claire Paulhan..

Beaucoup d'articles sont parus pour saluer le volume de  Carnets 1934-1948  préparée par Nathalie Thomas, préfacée parJérôme Prieur et annotée parLuc Autret

 

Tous les articles sont plutôt élogieux, sauf celui de Jean-José Marchand, dans La quinzaine littéraire, daté du 15 au 30 mars 2008, parlant de l'impuissance de Thomas

Pierre Lecoeur** a envoyé une réaction à ce journal. Celui ne l'ayant pas publiée, nous la donnons à lire dans cette rubrique. dans La Q.L

 

Pierre Lecoeur écrit ceci :

 

Dans son dernier numéro, La Quinzaine littérairea publié un article concernant les carnets de Henri Thomas récemment parus aux éditions Claire Paulhan (Carnets 1934-1948). Je tiens à réagir à certaines assertions de l’auteur de ce compte-rendu de lecture, Jean José Marchand, mais aussi à certain de ses oublis, non par goût de la polémique mais par un souci d’équité. Je crois que donner à lire cet article sans en signaler les manquements constituerait une injustice flagrante.

Jean José Marchand a choisi de traiter son sujet de manière elliptique. Rien n’est dit dans son texte de l’écriture des carnets et le contenu n’en est qu’effleuré. Ce parti pris se comprend : le critique aura choisi, à l’occasion de cette parution, de proposer un portrait de l’écrivain. Or c’est ici que le bât blesse vraiment. Après s’être souvenu d’une note de lecture agressive dont il fut l’auteur il y a 68 ans (et portant sur la poésie de Thomas), Jean José Marchand fait le va-et vient entre les domaines esthétique et politique d’une manière propre à entretenir une certaine confusion, et dénonce les « faiblesses », l’« incertitude », l’« impuissance » de Thomas. Le lecteur est amené à comprendre que Thomas, incapable de « sortir de lui-même » serait coupable d’une démission essentielle devant la vie, démission dont témoignerait cette faute majeure : « il collabore à la N. R. F. sous l’Occupation. » Signalons que cette « collaboration » s’est limitée à quelques articles au contenu exclusivement critique. Et que le comportement des écrivains pendant la guerre est une affaire complexe, qui ne saurait être envisagée sans discernement, et émaillée de réalités paradoxales : Sartre, on le sait, était au mieux avec la censure et fêtait la première des Mouches en compagnie d’officiers allemands ; nombre de revues que l’on qualifie de résistantes furent en fait tolérées (et donc reconnues) par l’occupant. Faut-il réactiver pour Thomas les foudres du C. N. E. ?

On est surtout surpris par ce jugement étonnant : « Il n’en reste pas moins que l’œuvre entière de Thomas donne une impression d’impuissance. » Outre la confusion des genres et l’emploi d’un vocabulaire qui rappelle celui d’une certaine critique de droite, on ne peut qu’être choqué par les étranges oublis sur lesquels il repose. A lire cet article, Thomas ne serait que l’auteur de poèmes en demi-teintes. Or il a écrit plus de vingt romans, dont La Nuit de Londres, salué par Blanchot, et Le Parjure, par Jaccottet et Derrida. Œuvre multiple, complexe, orientée d’abord vers un certain classicisme N. R. F. , puis vers une réflexivité inquiétante, avant d’explorer, avec une subtilité incomparable, les confins de l’autobiographie et de la fiction. On s’interroge sur les raisons d’une telle omission. Mentionnons au passage les volumes de nouvelles (souvent fascinantes) et de critique, passés eux aussi sous silence. N’est évoqué que Thomas traducteur, et c’est pour insinuer qu’il serait coupable de n’avoir pas mesuré la grandeur des textes qu’il a traduits. Jean José Marchand mentionne Sur les Falaises de marbre et Le Cœur aventureux, ouvrages curieusement qualifiés de pamphlets alors qu’il s’agit respectivement d’un roman allégorique et d’un recueil de notes relevant d’une exploration intimiste et rêveuse du monde. N’aurait-il pas mieux valu apprécier la qualité unanimement reconnue de ces traductions ? Qualité telle qu’il se dit en Allemagne, où Jünger passe volontiers pour un auteur illisible, que le goût qu’ont les Français pour son œuvre ne serait pas étranger au talent de son premier traducteur… Notons en outre que Thomas a publié des traductions de référence de Shakespeare, de Melville, de Goethe, des romantiques allemands, de Perse…

Enfin, pourquoi convoquer Jünger à titre de référence éthique ? Faut-il rappeler sa discrétion sur les crimes nazis ?

Thomas, auteur complet, exigeant, toujours indifférent à l’air du temps, ne mérite pas qu’on jette sur son parcours et son œuvre un regard partiel, partial et peu informé.

Pierre Lecoeur, auteur d’une thèse sur les romans de Thomas, membre du comité de la Société des Lecteurs de Henri Thomas.

 

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Une bonne surprise, Jacques Henric, dans Art press, avril 2008, salue sur quatre colonnes, page 68, une oeuvre qu'il a d'abord connue par Arthur Adamov.

 

Saluons le travail de Jérôme Garcindans Le nouvel Observateur, 28 février 2008.

 

Garcin parle aussi très bien des Carnets dans son émission Marque page, sur le site du journal, à la date du 7 mars 2008.

 

Jérôme Garcin, en 6.30 minutes, présente ce volume avec un ton convainquant et il lit aussi les pages consacrées à Antonin Artaud, datées de novembre 1946.

 

Signalons aussi l'article de René de Ceccatty, fidèle lecteur de Thomas, dans le Monde des livresdu 27 mars 2008 : Le buisson personne

 

2 mars 2008

 

Nathalie Jungerman sur le site de Florilettres de laFondation de la poste. Nathalie Jungerman avecLuc Autret, un article deCorinne Amar, dans la rubrique Portrait d auteurs, et des extraits choisis du volume. Un dossier qui donne envie de lire. 26 février 2008

Signalons le grand dossier spécial de février 2008 sur Henri Thomas, coordonné par

Un intéressant entretien de

http://www.fondationlaposte.org/index.php

Petite modification du programme donnée la semaine dernière. Paul Martin, indisponible ne vient pas, mais Joanna Leary parlera des inédits.

 

UNIVERSITE PARIS 7

 

Vendredi 7 mars 2008, de 14 à 18 heures

 

UFR « Lettres, Arts, Cinéma »

Bâtiment Les Grands Moulins, 7è étage, salle 797 C, 14/18h

Près de la Bibliothèque de France - François Mitterand

Métro: Ligne 14

R.E.R : C

Bus : 62, 64, 89, 325

 

Journée d'étude sur les Posthumes de Henri Thomas et l'actualité critique, organisée par la Société Henri Thomas, sous la responsabilité de Patrice Bougon

 

( Pour tout renseignement complémentaire, prière de me contacter à cette adresse Email: johper64, hébergé par hotmail.com.

Un numéro de téléphone sera donné le 1 mars 2008 )

 

L'enjeu de cette rencontre, en préparation d'un futur colloque en 2008 ou 2009, est triple. Il s'agira simplement d'ouvrir le dialogue entre chercheurs, lecteurs curieux et membres de la sociéte Henri Thomas.

D'abord, présenter l'oeuvre posthume de Henri Thomas( 1912-1993). Pas moins de 8 volumes, dont le plus récent, février 2008, est composé de plus de 700 pages.

Ensuite, aborder un aspect très peu étudié de l'oeuvre( sauf par Nicole Casanova), celui de Thomas traducteur mais aussi de l'oeuvre de Thomas traduite en allemand grâce à la présence à Paris d'un de ses traducteurs en langue allemande : Léopold Federmair. (Le cinéma dans la grange )

Enfin, faire état du renouveau critique, par la présentation de la première thèse française sur Thomas soutenue récemment par Pierre Lecoeuret d'une thèse en cours sur la poésie de Thomas par Florence Chapiro. Occasion nous est aussi donnée de présenter deux volumes critiques parus en 2007 : Henri Thomas, édition La part commune, par Maxime Caronet Henri Thomas, L'écriture du secret, édition Champ Vallon, volume collectif dirigé par Patrice Bougonet Marc Dambre.

 

Chaque présentation sera l'occasion d'un dialogue avec la salle.

 

1) Maxime Caron, écrivain :

Lecture de Carnets 1934-1948 de Henri Thomas, volume édité par Luc Autret, aux Ed. Claire Paulhan, 2008.

2) Patrice Bougon, Université d'Iwate, Japon :

Lecture de Choix de lettres, Gallimard, 2003, volume édité par Joanna Leary.

3) Pierre Lecoeur, ( Doctorat sur Thomas, Enseignant, Orléans ):

La mélancolie et son dépassement dans le roman thomasien.

4) Francois Souvay, ( Enseignant, Orléans ):

Lecture de Plein Jour, Le temps qu'il fait.

5) Florence Chapiro, ( Enseignante à Paris, en thèse sur Thomas, sous la direction de Michel Collot ) : La poésie de Henri Thomas

6) Léopold Federmair, Université d'Hiroshima, Japon, écrivain et traducteur :

Henri Thomas, traducteur de Jüngeret Paul Celan, traducteur du Promontoire

7) Joanna Leary: ( éditrice du Choix de Lettres, 2003 et des Carnets, 2006 Gallimard

Les inédits de Henri Thomas

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    • 14 février 2008 François Souvay, consacrée à : Henri Thomas, l'écriture du secret, éditions Champ Vallon ( pour le sommaire de ce volume collectif , voir Rubriques Colloques etEssais sur Thomas.) Europe, janvier-février 2008, N° 945-946, pp.370-371.Historiens de l'antiquité. Europe, 4, rue Marie-Rose, 75014 Paris22 janvier 2008 Pierre Lecoeur de nous donner sa << Sélection d'articles >>, issue de sa récente thèse. Voir la rubrique Bibliographie.Une vie, de précieuses pages ( 9) retraçant l'évolution de l'oeuvre de Thomas en relation avec le parcours de son existence et au regard des écrivains de son époque. Voir rubrique Biographie.

Signalons une note de lecture précise, signée

Cette note est publiée dans la revue

La revue consacre ce mois-ci son dossier aux

Téléphone et photocopie : 01 4321 0954

http:///www.europe-revue.info

Remercions

Il nous donne aussi

    • 21 janvier 2008

Signalons à la Maison de l'Amérique Latinela présentation des Carnetsde Henri Thomas à paraître ce mois.

http://www.mal217.org/agenda/comment_venir.cfm

 

Date : mardi 29 janvier 2008

Horaire : 19h

Autour de Henri Thomas

A l’occasion de la parution des Carnets 1934-1948 de Henri Thomas aux Ed. Claire Paulhan.

Débat avec Nicole Aboulker, Luc Autret, René de Ceccatty, Claire Paulhan, Jérôme Prieur.

Projection d’extraits du film de Gerard Mordillatet Jérôme Prieur

La Véritable histoire d’Artaud le Mômo (1993).

Editions Claire Paulhan, La Librairie Gallimard.

 

    • 11 janvier 2008 Claire Paulhan, bien connues pour leur rigueur, publient, le 25 janvier 2008 : Henri Thomas. Carnets 1934-1948, un volume de 720 pages dont nous avions annoncé le projet, voici un certain temps, sur ce site. Journal de Henri Thomas, qui vont de 1934 — fin de son adolescence sensible et imaginative, jusqu’au lendemain de la mort d’Antonin Artaud —, a été établie par sa fille, Nathalie Thomas, préfacée parJérôme Prieur et annotée parLuc Autret. >> Editions Claire Paulhan

Grand événement pour ce début d'année. Les éditions

Présentation de l'éditeur :

<< Cette édition originale des premières années du

40 illustrations, photographies, fac-similés en couleurs et 8 en n. & bl. 21,5 x 13 cm. 720 pages. Isbn : 978-2-912222-27-3.

Prix de vente :51 €

85, rue de Reuilly 75012 Paris

Tél/fax : 01 4341 4738

http://www.clairepaulhan.com/

    • 17 décembre 2007

Nous avions annoncé sur ce site qu'une traduction du Promontoireavait été faite vers 1962 par son ami Paul Celan, mais était restée inédite, la voici annoncée aux éditions Suhrkamppour avril 2008. Le titre allemand choisi par Celan fut :

Das Vorgebirge

Présentation de l'éditeur des oeuvres complètes de Celan :

Roman

Aus dem Französischen von Paul Celan.Herausgegeben und mit einem Nachwort von Barbara Wiedemann( Editrice et auteur de la postface )

Gepl. Erscheinung: 21.04.2008 ( date de publication)

Bibliothek Suhrkamp 1431

128 Seiten, Pappband ( 128 pages)

Inhalt( Résumé) :

Ein Übersetzer verbringt die Sommerferien mit Frau und Tochter in einem kleinen Dorf auf Korsika. Seine unsichere berufliche Situation und der rätselhafte Tod eines blinden Mädchens stürzen ihn in Verwirrung. Frau und Tochter fahren ab, er bleibt mit seiner Verwirrung zurück und merkt, wie er abrutscht in ein anderes Leben, das ihm angst macht, obwohl es ihn beglückt. Er hat zu schreiben begonnen, aufzuschreiben, was ihm widerfährt. Henri Thomas, geboren 1912 in den Vogesen, gestorben 1993 in Paris, Schüler von Alain, befreundet u.a. mit André Gide und Jean Paulhan, veröffentlichte 1961 den autobiographisch grundierten Roman Le Promontoire Das Vorgebirge, kurz nachdem er Paul Celan kennengelernt hatte. Celan übersetzte einen Großteil sehr rasch; dann scheiterte die Weiterarbeit an Vertragsverhandlungen mit dem Hanser Verlag , der das Werk 1963 in einer Übersetzung von Elmar Tophoven herausbrachte. Barbara Wiedemann hat Celans Arbeit für die Erstveröffentlichung ediert, vervollständigt und mit einem Nachwort versehen. Celans Übersetzung bringt eine sehr reine Stimme der französischen Literatur des letzten Jahrhunderts neu zu Gehör.

( le 7 décembre 2007)

Nous nous permettons de signaler la parution de notre étude << Réticence et amitié dans Le Parjure. Parler et ( ne pas ) voir.>> dans le volume collectif La réticence dans les écritures poétiques et romanesques contemporaines, édité par Jacqueline Michelet Marlena Braester, Samuel Tastet éditeur , octobre 2007, pp. 179-186.

www.esteditura.com

(Le 19 novembre 2007)

Dans la rubrique Inédits, ajout d'un extrait d'une lettre retrouvée au Japon, d'autres suivront.

On nous signale une note de lecture rédigée par Max Alhau, concernant les Actes du colloque L'écriture du secret chez Henri Thomasdans la revue Autre Sud, N° 38, septembre 2007, pp.154-155.

AUTRE SUD

Renseignements, abonnements :

Éditions Autres Temps Parc d’activités de la Plaine de Jouques – 200, av. de Coulins 13420 Gémenos

Tél : 04 42 32 75 42 Fax : 04 42 32 75 37

autresud@horizon-imprimeries.com

http://autre.sud.free.fr

Si des lecteurs du site HT ont les références d'autres notes, voire une copie, merci de me les envoyer.

On nous a signalé que Histoires littérairesa publié une note, mais nous ignorons la référence.

( Le 24 octobre 2007)

Un recueil d'articles de Maurice Blanchot, édité par Christophe Bident, fait événement dans l'histoire littéraire et nous permet de lire deux articles consacrés à Henri Thomas, l'un daté du 14 avril 1943, pp.358-361, sur Le précepteur, l'autre, daté du 27 juillet 1944, pp.649-653, sur Signe de vie. Remercions Christophe Bident de rendre enfin accessible cet ensembe d'articles. Nous y reviendrons prochainement, citations à l'appui, dans la rubrique Lectures de l'oeuvre .

CHRONIQUES LITTÉRAIRES DU « JOURNAL DES DÉBATS », avril 1941- avril 1944. CAHIERS DE LA NRF. Gallimard, 688 pages - 30,00 €,

MAURICE BLANCHOT

(Le 15 octobre 2007)

Saluons Pierre Lecoeurqui, le 5 octobre, a soutenu la première thèse sur Henri Thomas, il a obtenu la mention : << Très honorable avec les félicitations du jury. >> ( voir ci-dessous)

( le 26 septembre 2007 )

Pierre Lecoeursoutiendra, la première thèse consacrée à Henri Thomas, à l'université Paris VII.

Une poétique de la présence. Voies de la création romanesque chez Henri Thomas

Adresse : Les Grands Moulins, Paris 13e, Salle Pierre Albouy, 6e étage, UFR LAC, le vendredi 5 octobre, de 9h30 à 14h00.

Les membres du Jury :

Eric Marty, professeur à Paris VII, directeur de thèse.

Marc Dambre, Professeur à Paris III.

Dominique Rabaté, Professeur à Bordeaux III.

Nathalie Piégay-Gros, Maître de conférences à Paris VII.

(25 septembre 2007)

Léopold Federmair, romancier et traducteur, nous a récemment signalé les références des textes de Thomas traduits en langue allemande. Signalons, par ailleurs, que Paul Celan a traduit Le promontoire, à paraître prochainement. Voir la rubrique Bibliographie.

(mai 2007 )

Dans Le Monde des Livres, remercions Patrick Kéchichianpour sa note de lecture :

<< Depuis la mort d'H. T., en novembre 1993 ( il était né en 1912), de nombreux inédits sont venus enrichir une oeuvre déjà abondante - romans, récits, poèmes et carnets-, dans laquelle l'autobiographie est très présente et le souvenir personnel toujours subtilement transposé. Le colloque dont les actes sont publiés ici s'est tenu en janvier 2003 à la Sorbonne. Le thème du secret est une bonne porte d'entrée dans l'univers de Thomas. Plusieurs contributions traitent des amitiés et relations littéraires de l'écrivain. Un inédit datant de 1993 complète ce volume. >>

( 23 avril 2007)

Nous avons reçu des textes de témoignage ( Guillevic, Supervielle, Aranjo ) issus d'un dossier dirigé par Daniel Aranjo, publié en 1994, dans une revue, aujourd'hui introuvable, Le migrateur, dirigé par Frédéric Mangin.

Nous en publierons des extraits prochainement,avec l'autorisation de son directeur Frédéric Mangin, dans la rubrique Témoignage, ainsi qu'une lettre de Thomas aà Supervielle.

De plus, Jörge de Sousa Noronha, un proche de Henri Thomas nous a envoyé un texte de témoignage et des photos inédites qui seront bientôt mis en place sur ce site. Toute personne voulant proposer textes et photographies est invitée à se faire connaître.

( 16 avril 2007 )

Nous nous permettons signaler notre conférence La réticence et l'amitié dans le Parjure de Henri Thomas ( Paul de Man), au Colloque international La réticence dans les écritures poétiques et romanesques contemporaines, Université de Haïfa, Israel, 19-20 mars 2007, organisé par Jacqueline Michel, Isabelle Dotan, Marlena Braester. A paraître dans les Actes de ce colloque.

( 3 avril 2007)

Bonne nouvelle, le volume collectif consacré à L'écriture du secret chez Henri Thomas, issu du colloque tenu à l'université Paris III, en janvier 2003, est publié depuis le 17 février 2007.

Nous remercions vivement Jean-Benoît Puech, sans qui ce colloque n'aurait pas trouvé la voie des Éditions Champ Vallon dont voici l'adresse :

F 01420 Seyssel

Tél. 04 50 56 15 51 Fax 04 50 56 15 64

http://www.champ-vallon.com/

_Henri Thomas:l'écriture du secret__

Patrice BOUGON, Marc DAMBRE(sous la dir.)

Collection DÉTOURS

Le sommaire

Introduction

«Une initiation au secret»

par Patrice Bougonet Marc Dambre

I LECTURE DU SECRET

Un bonheur sans nom

Sur Henri Thomas

par Jean-Christophe Bailly

Henri Thomas et le récit

par Dominique Rabaté

Henri Thomas et les «absences de pensées»

par James Petterson

Le secret et la mort dans Le tableau d’avancement

par Karine Gros

Poésie de l’oubli et errance romanesque

dans Le Croc des chiffonniers

et Ai-je une patrie

par Michael Syrotinski

La lacune narrative et l’étrange familiarité

des personnages dans Le Parjure

par Patrice Bougon

Sur un récit de veille: le promontoire du secret

par Pierre Vilar

De la nouvelle au roman: métamorphoses du récit

dans Le Précepteur

par Alain Schaffner

Le réalisme en question de Henri Thomas

par Pierre Hyppolite

Henri Thomas, une écriture du ressouvenir:

Le Migrateur, Le croc des chiffonniers, Ai-je une patrie

par Gilles Quinsat

«Un petit bruit de sable gratté»

Les romans de l’écriture, 1942-1975

par Pierre Lecœur

II

HENRI THOMAS ET SES CONTEMPORAINS

Henri Thomas et les «idylles arcadiennes»

de Pierre Herbart

par Hervé Ferrage

Mort, deuil, écriture.

Autour des carnets d’Henri Thomas et de Georges Perros

par Philippe Met

Le roman à l’aune de l’amitié

Henri Thomas-Emmanuel Peillet

par Luc Autret

Henri Thomas, André Dhôtel

et l’aventure de la revue 84

par Philippe Blondeau

Henri Thomas à la NRF

(décembre 1940-juillet 1943)

par Jacques Lecarme

Henri Thomas, épistolier

par Joanna Leary

Mes anciens auteurs (inédit)

par Henri Thomas

Bibliographie

par Luc Autret

    • 20 décembre 2006 )The Confidence man. Le grand escroc, Editions Sillage, octobre 2006, 416 pages, 17,50 euros.( 24 novembre 2006 ) table ronde sur l'actualité Henri Thomas aura lieu en en 7 mars 2008, à l'université Paris 7 pour présenter le changement de structure de la sociéte HT et surtout saluer l'actualité Henri Thomas : l'essai de Maxime Caron , lesActes du colloque Thomas de la Sorbonne, les volumes édités par Joanna Leary, les Carnets édités parLuc Autret, publiés en février 2008 par Claire Paulhan, et les posthumes, parus chez Le temps qu'il fait, présentés par Paul Martin. ( modifée le 18 février 2008) Claire Paulhan, annoncent la parution d'un volume Henri Thomas. Recommandons, par avance, ce livre puisque ces éditions sont bien connues pour leur rigueur et que Luc Autret travaille sur Henri Thomas depuis des années.(dernière version de l'appareil critique en cours d'achèvement, par Luc Autret).

Saluons la republication de la traduction effectuée ( Editions de Minuit, en 1950 ) par Henri Thomas du roman de Melville,

Cette republication soignée paraît chez un petit éditeur au catalogue qui aurait séduit notre auteur.

http://editions.sillage.free.fr/contact.html

Toute personne souhaitant commenter cette traduction est priée de me contacter.

Une

Les éditions

http://www.clairepaulhan.com/actualites.html

    • Journal 1934 - 1948 de Henri Thomas
    • (23 novembre 2006) MAXIME CARON, vient de publier une monographie, Henri Thomas, éditions La part commune, Rennes, 2006. Depuis 1992, ( voir la Bibliographie ), aucun livre sur Thomas n' a été publié. Saluons donc cet événement, d'autant plus que Maxime Caron a déjà publié de très nombreux articles sur Henri Thomas. Toute note de lecture est, dès maintenant, bienvenue sur ce site. Le 27 juillet 2006, nous avons rendu compte de cet ouvrage dans une note de lecture qui est lisible à la rubrique CARNETS INÉDITS (1947, 1950, 1951) suivi de PAGES 1934-1948 2006 . Édition deJoanna Leary**, 288 pages, 140 x 205 mm. Collection Les Cahiers de la NRF, Gallimard, 2006, 25,00 €

http://lapartcommune.com

Responsable(s):Yves Landrein

Coordonnées :

16, quai Duguay-Trouin

35000 Rennes

France

Tél. : 33 (0)2 23 40 03 12

email : lapartcommune@numericable.fr

Essais sur Thomas. Une autre, signée Philippe Besson, parue dans Marianney est aussi donnée à lire.

Note de lecture attendue

Un volume qui complète utilement le livre à paraître des éditions Claire Paulhan . Nous y reviendrons.(P.B)

11-13 juin 2009

Université de Poitiers, MSHS Laboratoire FORELL B1

Michel Briand, Colette Camelin, Liliane Louvel

Jeudi 11 juin 14h00

Université de Poitiers, MSHS (salle Mélusine)

15h15 Pierre Lecoeur (Université d’Orléans), « “J’ai parlé de choses qui me frappaient…”

l’écriture de l’intensité dans les romans et les carnets de Henri Thomas ».

 

Bellum Civile de César ».Pickles et madeleine : l’intensité du goût

14h00 Ouverture du colloque

14h15 Emmanuelle Valette (Université Paris VII), "

discours sur le spectaculaire à Rome"

14h45 Richard Pedot, (Université Paris X) « "

 

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